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| | Discrètement exfiltré de Tunisie grâce à son père, après quelques frasques journalistiques dans la presse francophone locale, et une malencontreuse imprudence de langage mal maîtrisée sur la liberté de la presse dans son pays natal en conférence internationale euro-arabe à Bruxelles, Hatim se retrouve à Montpellier, "en réserve de la République". Privé de ses postes d'enseignant à l'université de Tunis, et sans perspective professionnelle dans la capitale de cette Septimanie qu'il avait connue une décennie plus tôt en qualité d'étudiant, Hatim se trouve contraint de s'y inventer une nouvelle vie. La rencontre d'un mentor, qui deviendra son père spirituel en affaires, et très vite un ami et associé, lui ouvre la voie de la création d'entreprises qu'il explorera, en autodidacte, à sa manière, très atypique et parfaitement décalée. Méditerranéen aux origines multiples, homme de culture et de savoir-vivre, Hatim Jaïbi-Riccardi, après avoir poursuivi ses humanités à Montpellier, et effectué un passage éclair en qualité d'enseignant d'université à Tunis, s'est installé définitivement, au tout début des années 1980, en Septimanie, où il s'efforce de pousuivre aussi discrètement un parcours de promoteur d'initiatives économiques et culturelles...
Chroniques septimaniennes Septembre 2013, 315 pages. |
De sa première chambre chez lhabitant dans lHôtel de Verchant, au 9 de la rue Rebuffy, à Montpellier, en ce début des années 1970, à ses humanités à lUniversité Paul Valéry, en passant par une équipée en Scandinavie, ses débuts denseignant de faculté de lettres et dinstitut de journalisme à Tunis, et ses premières armes de conférencier lors dun congrès euro-arabe à Bruxelles, "Chroniques languedociennes" suit les tribulations dun jeune homme né en Afrique du Nord au début des années 1950 et débarqué sur les berges du Clapas deux ans à peine après les événements de mai 1968.
Ces souvenirs de jeunesse occitane constituent la suite de ses mémoires denfance tunisoise contées dans son précédent récit, "Chroniques ifrikiennes".
418 pages |
De la clinique de Monfleury sur les hauteurs de Tunis en cette fin d'époque coloniale, aux turbulences des premiers jours d'un État nord africain nouvellement indépendant, "Chroniques ifrikiennes" suit les tribulations d'une famille multi-culturelle ballotée par la marche des siècles.
A travers ses souvenirs d'enfances, l'auteur retrace des "fragments d'existence", des tranches de vie entre Afrique du nord et Europe du sud qui, en nous racontant son histoire, nous entraînent dans un récit palpitant où chacun peut se reconnaître.
363 Pages |
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